tag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post5854661023875030340..comments2024-01-05T17:50:01.853-08:00Comments on Mamandala et Petit chou: Apprends moi a faire seulHëlënehttp://www.blogger.com/profile/09183570671365207000noreply@blogger.comBlogger8125tag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-17932580256338451482015-08-02T04:48:04.866-07:002015-08-02T04:48:04.866-07:00Merci pour cet article! Je nous reconnais tellemen...Merci pour cet article! Je nous reconnais tellement dans ce témoignage! Mon fils a 17 mois et c'est exactement ça pour nous aussi! Une grossesse difficile pour moi également....<br />J'ai, moi aussi, cessé de voir cela comme un problème. J'essaie simplement de répondre à ses besoins et de l'apaiser. J'essaie de lui donner les moyens de pouvoir se rassurer seul...en lui assurant que je suis là pour lui ;).<br />Bonne journéeDéborahhttp://lejournaldetitouan.blogspot.frnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-81903847337330009602015-07-29T16:00:19.590-07:002015-07-29T16:00:19.590-07:00c'est tout à fait ça Etiva, il n'est pas q...c'est tout à fait ça Etiva, il n'est pas question ici de chercher à régler un problème de sommeil qui serait mal vécu mais de trouver la bonne réponse à une demande autre que de la faim, de l'habitude, ou je ne sais quoi. Mon objectif c'est de faire en sorte qu'il se sente en sécurité et si en bonus il dort toute la nuit et s'endort seul alors là ce serait top! Je pense aussi que beaucoup de choses liées à la grossesse, la naissance et les premiers mois de vie jouent beaucoup!Charliehttps://www.blogger.com/profile/11729113048696751064noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-79321034496777186312015-07-27T04:05:07.100-07:002015-07-27T04:05:07.100-07:00Bonjour ! Comme je l'ai dit ailleurs cet artic...Bonjour ! Comme je l'ai dit ailleurs cet article me touche aussi et surtout, je trouve qu'il s'agit d'un témoignagne plus fin, authentique que d'autres sur le sommeil. En tout cas, ça me parle :) Ce que j’entends dans ce billet c’est qu’il s’agit moins de faire que le petit se rendorme seul que de comprendre les raisons pour lesquelles il se réveille, et d’y répondre adéquatement, l'appaiser vraiment. Ce que je remarque c’est que dans beaucoup de « méthodes », même bienveillante, il est dit que le petit se réveille car « il a l’habitude » « il aime avoir une présence parentale ». La différence entre les articles « bienveillants » c’est qu’ils considèrent que c’est normal d’aimer (cf Gordon qui se réveillerait bien pour un super verre de jus d’orange la nuit) cela alors que d’autres exemple d’éducation plus « traditionnelle » considèrent que l’enfant abuse de ses parents. Mais si ce n’était pas cela pour son enfant ? S’il s’agissait d’une angoisse par exemple, comment y répondre, la nuit, pour aider son enfant à aller au-delà ? J’ai moi-même pas encore trouvé de réponse. La nuit, nous sommes fatigués et endormis, pour l’instant je l’allaite donc, encore endormie, quand à chaque réveil il demande « tétee ». Dans notre cas, je pense aussi que certaines conditions des premiers mois, peut-être ma reprise du travail assez tôt, les conditions de sa naissance, jouent là-dessus. Nous avançons à petit pas dans l'expression des émotions en journée. En tout cas, comme le témoigne Charlie, le temps est aussi notre allié :) Etivanoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-70205411255963480932015-07-27T03:01:10.125-07:002015-07-27T03:01:10.125-07:00Je suis tout à fait d'accord et je pense que s...Je suis tout à fait d'accord et je pense que si je n'avais pas arrêté de voir son sommeil comme un problème et si je n'avais pas été bienveillante envers moi, je n'aurais jamais tenu le coup jusqu'à maintenant. En ce qui me concerne je n'ai jamais mal vécu le sommeil de mon fils, c'est le regard des autres qui a fini par me mettre la pression et a chercher des explications, des solutions. Il progresse sur tout un tas de chose, il gagne en autonomie, il grandit, il vient à l'instant de me demander d'aller dormir, c'est dire! décider aujourd'hui de l'accompagner différemment, c'est pour moi être bienveillant pour nous deux, je respecte mon besoin de sommeil et son besoin de contact. Et quand les réveils se font trop nombreux, je l'emmène finir la nuit dans mon lit évidemment! comme le dit Hëlëne, il n'existe pas de méthode, pas de règle, juste un équilibre à trouver entre nos besoins pour que chacun soit respecté, en tout cas c'est le chemin que je prends et si "notre solution" ne convient pas a tout le monde, pour nous pour le moment elle nous convient, chacun y trouve son compte!Charliehttps://www.blogger.com/profile/11729113048696751064noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-33942324876539887932015-07-26T21:53:12.910-07:002015-07-26T21:53:12.910-07:00Pour moi tu soulignes un point très important : &q...Pour moi tu soulignes un point très important : "la bienveillance commence par soi-même". C'est totalement vrai et je crois que plutôt que des solutions toutes faites, l'équilibre se trouve là : apprendre aux enfants le respect d'eux-mêmes commence par se respecter soi-même. Si l'on se manque de respect pour pouvoir se rendre totalement disponible pour nos enfants, contre nos propres besoins, on est dans une bienveillante unilatérale qui ne fonctionne pas car elle fonctionne aux dépends de l'autre. Trouver l'équilibre entre bienveillance envers nos enfants ET envers soi-même n'est pas simple, mais je suis persuadée que tant que l'on suit cette voie, quelques soient les solutions que l'on adopte, on ne peut pas se tromper. Hëlënehttps://www.blogger.com/profile/09183570671365207000noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-20231413392494890142015-07-26T08:35:44.028-07:002015-07-26T08:35:44.028-07:00Bonjour,
Je suis votre blog depuis ses débuts avec...Bonjour,<br />Je suis votre blog depuis ses débuts avec beaucoup d'intérêt. Evidemment même si aucun article ne m'a laissée indifférente, celui-ci, autour du sommeil encore moins... Mon garçon de 26 mois a suivi a peu près le même cheminement que Petit chou. Aujourd'hui encore il ne s'endort pas seul (nous l'accompagnons jusqu'à ce qu'il s'endorme), il se réveille encore certaines nuits (mais pas toutes les nuits) et nous rejoint presque toujours dans notre lit pour terminer sa nuit. Par contre à la crèche ou chez ses grands-parents il s'endort seul et ne réclame personne (que ce soit pour la sieste ou le sommeil nocturne). Mais la séparation avec maman est déjà faite! Alors évidemment le raccourci est vite fait : c'est moi qui ne veut pas le laisser ! Je l'ai allaité trop longtemps ! Il ne tète plus depuis ses 23 mois. Et la différence est peu visible entre avant et après l'allaitement. Nous avions déjà progressé pour que le sein ne soit pas LA solution à tout ; et même si c'est dur pour tout le monde parce qu'il est quand même beucoup plus commode de dégainer le sein à la moindre crise, je ne regrette pas la transition en douceur qui lui a permis de trouver des ressources en lui pour calmer ses angoisses, ses frustrations, ses colères, ses douleurs, son énervement... Et puis je n'ai plus eu de lait (j'attends le deuxième enfant). Alors oui, j'aimerais moi aussi lui souhaiter bonne nuit après un bon calin et le laisser trouver le sommeil seul pour ne le retrouver que le lendemain matin (pas trop tôt...). Oui je m'inquiète un peu de comment on va réussir à gérer le sommeil de chacun quand le bébé sera là. Et en même temps j'ai confiance. Et si la solution trouvée n'est pas socialement unanimement acceptable et bien tant pis ! Quand je regarde la chemin parcouru depuis sa naissance je me dis que même autour du sommeil il a bien progressé. J'ai essayé la méthode de le laisser seul et de venir le voir régulièrement. Avec lui ça ne marche pas ! Au contraire. Je suis sûre que Petit chou aussi progresse et je suis sûre également que tu es suffisamment à l'écoute de ton enfant pour l'accompagner au mieux dans cette difficile étape de la séparation avec maman pour toute une nuit, sans nuire pour autant à son besoin d'autonomie. <br />Une amie qui a un enfant du même âge que moi m'a dit un jour : en effet, mon enfant ne fait pas ses nuits, ouil il se réveille 6 fois par nuit pour téter, non il ne sait pas s'endormir seul mais j'ai arrêté de le voir comme un problème : je lui donne le sein pour l'apaiser, il dort avec nous pour que je sois moins fatiguée de devoir me lever plusieurs fois par nuit...<br />Je me suis rendu compte alors que moi je le vivais comme un problème, que je menais quasiment une guerre à coup d'homéopathie, d'osthéopathie, de méthode de 5-10-15, de consultation auprès d'un pédopsychiatre... Et puis j'ai arrêté de voir ça aussi comme un problème. ça n'a pas fait franchement progressé les choses mais tout le monde était plus serein (même si fatigués !).<br />Donc je continue de l'accompagner et je l'accompagnerai le temps qu'il faudra jusqu'à ce qu'il me fasse comprendre que le moment est là pour le laisser s'endormir seul. Une dernière chose cependant : la bienveillance commence il me semble par soi-même (c'est là le plus dur pour moi ! ) Aussi j'essaie de respecter mes besoins également et quand vraiment je suis trop épuisée pour être disponible, je lui dis et je passe le relais au papa (même si le petit n'est pas content je sais qu'il n'est pas seul avec ses colères et ses angoisses du soir). <br />Bon voilà pour mon long commentaire !... pisc orehttps://www.blogger.com/profile/04319908007340484016noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-44969813370064427662015-07-25T13:19:18.763-07:002015-07-25T13:19:18.763-07:00il est evident que laisser un enfant être submergé...il est evident que laisser un enfant être submergé, le laisser subir ses émotions n'est pas bienveillant non plus, à mon sens, tout comme forcer l'apprentissage de la frustration en lui refusant le sein. j'observe mon fils avant tout, quand je vois qu'il s'agit juste d'une colère ou d'une tenson à décharger je le laisse faire tout en restant à ses cotés s'il veut et surtout s'il accepte un calin mais quand par fatigue ou accumulation il n'est pas en mesure de gérer le flux d'émotion, je l'apaise au sein. comme tu le disais dans ton article, parfois le sein permet de calmer le jeu et de pouvoir en discuter ensuite. je 'attends pas de mon fils qu'il soit capable d'assumer seul et je n'ai pas de réponse non plus sur cette idée de mécanisme de contrôle. il y a sans doute d'ailleurs un peu de tout, et je crois que dans tous les cas, on est toujours, même adulte un tant soit peu dans le mécanisme de contrôle. Quand je suis stressée, inquiète, je fais du ménage et je range. je contrôle aussi mon alimentation. certains disent que je contrôle l'éducation de mon fils. donc pour moi c'est une fausse question, ce qui importe avant tout c'est d'être capable de laisser nos enfants grandir à leur rythme et de les y accompagner du mieux que l'on peut chacun avec son histoire.Charliehttps://www.blogger.com/profile/11729113048696751064noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7554735202822554160.post-1638835553912528322015-07-23T23:54:41.189-07:002015-07-23T23:54:41.189-07:00Je te souhaite que ça marche. Évidemment tu le sai...Je te souhaite que ça marche. Évidemment tu le sais, nous avons suivi le processus inverse (inverse à la majorité des gens d'ailleurs) en mettant notre fille dans notre lit à 2 ans et demi, mais je n'ai pas vécu ce que tu as vécu et je comprends totalement ton envie légitime de vouloir te reposer tout simplement. Qui plus est, comment être à même de répondre aux besoins intenses de nos enfants quand on est vanné ? Le sommeil est un pilier de la bienveillance.<br /><br />Par contre, à 3 ans il m'arrive toujours d'accompagner certaines grosses angoisses de ma fille avec l'allaitement et je n'ai pas le sentiment de contrevenir à la bienveillance ni même de ne pas l'armer pour sa vie future. Je ne sors pas mon sein au moindre bobo, et nous lui avons offert plein de moyens d'exprimer ses émotions depuis bien longtemps (livres, signes, vocabulaire, improvisation "théâtrale", etc.) mais si l'angoisse est trop intense, je préfère de loin lui offrir une tétée -si elle le demande, parfois il est même impossible de la toucher- que de la laisser hurler, en proie à ses démons pendant 30 minutes. J'ai essayé au début en écoutant les discours sur l'écoute-bienveillante-des-émotions-qui-doivent-sortir-pour-le-bien-de-l'enfant, sauf que l'image de ma gamine en panique face à des émotions qui visiblement la submerge et qu'elle ne fait de toutes façons que subir, ça ne m'a pas paru plus sain. Mécanismes de contrôle ou simple apaisement ? Je n'ai pas de réponse toute faite. Mais les cas sont finalement rares et de moins en moins nombreux et je n'ai pas le sentiment qu'elle ne mûri pas là dessus de son côté. Pour moi c'est un processus de transition progressive et en douceur sur un chemin qui est bien difficile à emprunter et qu'à 3 ans, je n'attend pas qu'elle assume seule. Hëlënehttps://www.blogger.com/profile/09183570671365207000noreply@blogger.com